le plaisir est bien coupable, un sacré poulet
Ça y est, nous y sommes ! L’heure du verdict pour Robocop Rogue City vient de sonner, trois semaines après une preview qui annonçait un jeu prometteur, sinon un vrai plaisir coupable. Cela fait plusieurs semaines que Nacon a envoyé le jeu et cela quelques jours que j’ai fini l’aventure, je dors pas depuis 1 mois c’est incroyable. Alors, ça donne quoi ce jeu vidéo Robocop ? Est-ce vraiment la surprise inattendue de cette fin d’année, ou alors un pétard mouillé surhypé par la presse et les vidéastes Dailymotion ? Verdict.
Si le projet Robocop Rogue City existe aujourd’hui, c’est grâce notamment à Teyon, un petit studio polonais fondé en 2006, et qui ont déjà plus de 50 jeux à leur actif, je suis allé voir leur page Wikipédia, c’est assez hallucinant. Alors attention, il ne s’agit pas de projets à eux, mais plutôt de la sous-traitance sur des titres dont le grand public n’a jamais eu vent. Mais bon, faut bien manger et payer les factures avant de nourrir des ambitions. Et justement, entre deux productions assez anodines, les membres du studio ont fait grandir leur passion pour les gros films d’action mascu des années 80 et 90. C’est comme ça que le studio s’est tristement fait connaître avec le jeu Rambo en 2014, un rail shooter malheureusement catastrophique que toute la presse s’est fait le plaisir de massacrer. Malgré cet échec critique cuisant, Teyon n’a pas baissé les bras et a sorti en 2019 un certain Terminator Resistance. Le résultat n’était pas grandiose, mais il y avait déjà plus d’ambition et le studio semblait être sur la bonne voie pour proposer une adaptation fidèle à l’une des icones métalliques du cinéma. D’ailleurs, le jeu possède une communauté qui n’hésite pas à monter au créneau pour le défendre sur les réseaux sociaux. Entourés de cette bonne vibe, ls développeurs ont donc enclenché la vitesse supérieure avec Robocop Rogue City, avec encore plus d’envie, d’ambitions et surtout plus de moyens. Et cela se traduit surtout par l’utilisation de l’Unreal Engine 5, le moteur graphique dernier cri d’Epic Games qui se ressent immédiatement en jeu.
On vous laisse admirer les images dans le test vidéo, mais oui, le jeu affiche une plutôt belle plastique ! On l’avait déjà évoqué dans notre preview il y a 3 semaines et c’est confirmé dans la version définitive, on en prend plein la vue. Richesse dans les textures, éclairage soigné, reflets un peu partout dans les environnements, particules à droite et à gauche notamment lorsqu’on se balade à Detroit au début du jeu, l’Unreal Engine 5 donne ausdsi de la matière aux décors qui rend l’atmosphère bien crasseuse, à l’image de ce qu’a été le film de Paul Veroehven. Bref, ce Robocop Rogue City marque des points avec sa plastique d’entrée de jeu. Alors attention, tout n’est pas parfait, et il suffit de s’attarder sur les PNJ pour constater que la modélisation des visages laisse encore à désirer, qu’il n’y a aucune expression faciale et que leur pattern est ultra limité. Mais en vrai, c’est pas si grave, car on a affaire à un AA et non un AAA habituel à qui on laisserait pas passer ce genre de bévues. Robocop Rogue City, c’est un peu un eurojank, vous savez ces jeux pas bien finis car ils manquent de moyens, mais qui transpirent néanmoins la passion. C’est ce qu’il retenir d’ailleurs de ce jeu qui a été réalisé par des gens passionnés, soucieux de faire quelque chose de fidèle par rapport au matériau d’origine.
MERCI POUR CE POULET TEYON !
La beauté, c’est un chose, mais qu’en est-il du gameplay ? Là aussi, Robocop Rogue City a pris le parti-pris d’être le plus authentique possible au personnage d’Alex Murphy, 50% flic, 50% machine, mais 100% bourrin au possible. Et là aussi, il y a de quoi se faire plaisir. On a pas mal parlé de la lenteur du personnage, fidèle à ce qu’il est, à savoir un gros tas de ferraille qui ne peut pas sauter ni s’accroupir, mais qui est capable d’encaisser des rafales de balles hallucinantes. Et bien, si Robocop est un FPS plus lent que la normale, le personnage n’est pas si lent que ça. En vrai, ses déplacements restent suffisament cadencés pour ne pas énervé le joueur, d’autant qu’il est capable de courir sans jamais s’essoufflé. Et mieux encore, en évoluant dans l’aventure, il sera possible de débloquer d’autres compétences, comme la possibilité de dasher en avant et défoncer les ennemis plus facilement. Mais on en reparle dans quelques instants. Donc oui, il y a un vrai bon feeling de contrôler RoboCondé, d’autant que chaque pas est accompagné d’un bruitage qui fait trembler le sol et on se sent surpuissant sous cette carapace de métal.
Cette sensation d’invincibilité, on l’a aussi grâce à l’Auto-9, l’arme de prédilection de Robocop qu’il dégaine de sa cuisse. D’ailleurs dans le jeu, pour des soucis de game design et de rapidité, la recharge se fait normalement, et pas en rentrant l’arme dans sa jambière. Les munitions avec l’Auto-9 sont illimitées mais il faut néanmoins recharger son arme très souvent. Elle va d’ailleurs évoluer au fil du jeu, avec des capacités à débloquer via des composants à placer sur une carte-mère. Selon la puissance de chaque composant, on obtient des résultats différents selon la capacité du magasin, la portée des tirs, le rechargement de l’arme, les dégâts infligés et le perçage de l’armure. C’est assez original et pas mal ludique. Bien sûr, Robocop peut ramasser d’autres armes laissés au sol par les ennemis, de l’uzi au lance-grenades, en passant par le shotgun, la kalashnikov ou bien encore le fusil de sniper. Les sensations de tirs sont bien présentes, bien lourdes et on ressent l’impact de chaque balle envoyée, capable d’éclater une tête ou d’arracher des membres. Le sang dégouline à flot, les cervelles explosent et tout ce rouge bien ocre repeint souvent les murs. A cela s’ajoute la possibilité de donner des droites de malade, des grosses patates de forain qui one-shot les ennemis dans un vacarme assourdissant. C’est le kiffe total ! On peut aussi aggriper un ennemi par le cou pour ensuite l’envoyer s’écraser contre un mur, au sol ou contre d’autres ennemis. Là aussi, le plaisir est total.
Mais attention, si notre flic est résistant, il peut toutefois succombé aux balles s’il ne s’abrite pas derrière les éléments du décor. Il est d’ailleurs soumis à une barre de santé qu’on peut revigorer moyennant des charges de récupération OCB ou tout simplement des panneaux électriques avec lesquels on peut se brancher dessus. Si le début de l’aventure est une partie de santé, d’autant qu’il est possible de cibler facilement les ennemis avec L2, très rapidement, on est pris d’assaut par leur nombre. Ils sont pas bien intelligents c’est sûr, l’IA est même assez éclatée, mais ils chargent comme des porcs, tirent sans sommation et surtout balancent des grenades à tout va. Et c’est ça justement qui peut avoir raison de votre carapace métallique.
On pourrait croire que Robocop Rogue City n’est qu’un FPS basique où on avance dans des couloirs et qu’il faut shooter à tout va sans la moindre réflexion, mais Teyon ne s’est pas contenté de si peu. En fait, pour souffler entre deux missions, et surtout varier les plaisir, Robocop va devoir faire quelques tâches certes ingrates, mais finalement lié à son statu de policier comme un autre. Aider à débarrasser les rues de Detroit de voyous, empêcher un taggueur de graffer un mur, mettre un PV à une voiture mal garée, rendre service à un collègue dans le commissariat, c’est assez basique dis comme ça, mais réaliser ses actions dans la peau de Robocop c’est assez fun en vrai. Tout cela a lieu dans la ville de Detroit qu’on parcourt comme une petite zone ouverte au début de l’aventure, tout comme le commisariat qui devient rapidement un lieu paisible où l’on peut écouter les autres parler de sujets et d’autres. Des missions à prendre parfois au second degré, d’autant que les dialogues misent aussi sur cette ambiance potage des années 90. Mieux, certains dialogues vont permettre de choisir des réponses qui peuvent aboutir à des séquences irréversibles, comme laisser une personne en liberté ou l’envoyer en prison. Selon vos choix, votre réputation suivra, sans grande conséquence sur le dénouement de l’aventure, mais c’est quand même amusant de voir que c’est intégré dans ce genre de jeu.
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